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Les huiles essentielles

Les HE

Avertissement

Les informations contenues sur ce site ne peuvent nullement remplacer un avis médicale. Avant toute automédication et dans le doute, consultez un médecin, un pharmacien ou aromathérapeute qualifié.

Les huiles essentielles (HE) et les absolues qui leur sont apparentées, sont des produits très concentrés, utilisés initialement comme matière premières de parfums (ex- HE de rose, de lavande, de jasmin, de patchouli…), mais également comme principes actifs de médicaments (clou de girofle, niaouli, cajeput…). Aujourd’hui, nous avons l’aubaine d’en trouver un large choix à disposition du grand public, d’où l’envie à de les employer pour diffèrent sortes d’usages, à commencer par la santé avec les précautions et   rigueur d’usage qui s’impose aux HE…

L’utilisation des HE est possible, bien évidemment, mais ça requière de la rigueur et de la prudence. D’une part, il faut savoir se tenir aux limites de l’automédication, c’est-à- dire ne pas soigner des troubles qui demandent une consultation médicale : symptômes graves ou durent à long terme sans aucun signe d’amélioration, troubles apparaissant sur une personne souffrant déjà d’une maladie chronique diagnostiquée…

D’autres par il faut absolument respecter leurs précautions d’usage. En effet, même si les HE en vente libre présentent moins toxicité et n’entraînent a priori pas de risques d’accident graves, elles ne sont cependant pas complètement inoffensives. De ce fait, appliquées pures sur la peau, la plupart des HE peuvent causer des irritations locales voir des s brûlures. Prises en interne, certaines ont des actions aussi fortes que celles des médicaments et auront en conséquence les mêmes contres indications. Diffusées dans l’atmosphère, elles pénètrent dans les poumons puis passent dans le sang et peuvent entrainer les effets indésirables si elles ne sont pas faites pour être diffuser (c’est le cas des HE riches en camphre, par exemple…).

Par pour le reste, en raison leurs grandes sensibilité aux effets des HE, les bébés et les jeunes enfants, les femmes enceintes, allaitantes et les personnes fragiles ou enclines à faire des allergies doivent faire l’objet d’une grande prudence. Par précaution, il est déconseillé d’utiliser des préparations « maison » à base des HE ou produits du commerce très concentrés en HE (baumes, inhalations, mélanges pour diffusion par exemple) chez les enfants de moins de 5 ans (sauf cas particulier qui seront précisés dans la notice) et chez les femmes pendant toute la période de grossesse et allaitement.  Il est recommandé de lire soigneusement les notices des HE ou le guide d’utilisation présent dans des nombreux ouvrage. Il est conseillé également de bien connaître et de respecter les règles d’usage et de stockage des HE.

 

L’essentiel sur les huiles essentielles

Qu’est-ce qu’une huile essentielle ?

Les huiles essentielles

La dénomination huiles essentielles (HE) peut prêter à confusion, car il ne s’agit pas d’huile au sens propre du terme : elles ne contiennent pas de matières grasses, mais plutôt de molécules aromatiques. C’est parce que ces molécules aromatiques flotte au-dessus de l’eau, après distillation des plantes qu’on les a appelées huiles essentielles dès le XVIème siècle. HE est devenue un terme générique reconnu par les spécialistes en pharmacognosie (sciences des principes actives végétaux) et par la pharmacopée officielle. On utilise le mot huile essentielle pour designer des extraits des plantes et arbres aromatiques obtenus par quatre procèdes d’extractions différents, l’expression à froid, la distillation à la vapeur d’eau, l’extraction par solvant et l’extraction au dioxyde de carbone supercritique.

HE est donc élaborée par ses organes sécréteurs qui sont localisés dans les différentes parties des plantes et des arbres aromatiques : semence, racine, bois, feuille, fruit et fleur.

Les huiles essentielles sont généralement incolores (sauf celle de la cannelle « rougeâtre », de la camomille « bleutée » et du bouleau « noire ». Elles sont plus légères que l’eau, elles sont insolubles dans l’eau et dissolvent peu dans le vinaigre, leur dissolution est meilleure dans l’alcool et elles se mélangent à la perfection avec les huiles végétales et avec la cire.

 

Attention les propriétés médicinales d’une plante ne sont pas identiques avec propriétés médicinales de son huile essentielle.

Prenons un exemple : l’extrait sec de millepertuis contient de l’hypericine qui a une action antidépressive. Cette substance n’est pas soluble dans l’huile et n’est pas présente dans l’huile essentielle !

De même, lorsque plusieurs parties de la plante peuvent produire une huile essentielle, la composition et les propriétés de l’huile essentielle obtenue vont différer. En conclusion, les caractéristiques d’une huile essentielle varient selon la partie de la plante utilisée pour sa production: par exemple, dans le cas de l’arbre Oranger Amer, l’huile essentielle de Néroli issue de la distillation  des fleurs d’orange Amer est différente de l’HE de Petit Grain obtenue à partir des feuilles et de celle d’Orange amer ou douce obtenue à partir des zestes.

Comprendre la notion du Chémotype

Les huiles essentielles

Chémotype est « l’empreinte digitale » de l’huile essentielle. Une huile essentielle renferme un ensemble de molécules biochimiques très complexes, ayant des propriétés thérapeutiques distinctes. La proportion des principaux composants d’une huile essentielle lui confère ses propriétés et indications thérapeutiques particulières.

Le terroir dans lequel un arbre est issue influence le chémotype (CT) et donc les caractéristiques  de son l’huile essentielle! En d’autres termes, les molécules biochimiques contenues dans une huile essentielle varie en fonction de son biotope (comme l’ensoleillement, la nature du sol, la luminosité, l’altitude, son environnement, etc… ) dans laquelle la plante a évolué, d’une part, Mais également à la façon dont la plante a été récoltée, stockée puis transformée en huile essentielle. Une huile essentielle est un produit vivant. Ainsi deux plantes identiques peuvent donner des huiles essentielles dont les caractéristiques diffèrent de façon plus ou moins importantes : ce sont deux chémotypes de la même plante. Ces différences peuvent être extrêmement importantes et changer complètement les propriétés biochimiques de l’huile essentielle. Et donc le chémotype d’une huile essentielle issue de plantes de la même espèce, par exemple l’huile essentielle de Citron ou de Lavande Officinale, ne sera pas la même d’une année à l’autre et même d’un lot à l’autre.

Exemple avec le romarin :

Huile essentielle de Romarin à Verbénone (Romarin CT verbénone), de son nom latin Rosmarinus officinalis à verbénone.

Cette huile essentielle contient en majorité le  verbénone  qui a des actions cicatrisantes, bac- téricides, drainage hépatique principalement.

Quant à l’huile essentielle de romarin à camphre (Rosmarinus officinalis à camphre) est

Composée principalement du camphre a action anti-inflammatoire et détente musculaire

Pour finir l’huile essentielle de romarin à cinéole appelée scientifiquement Rosmarinus officinalis à cinéole est une huile essentielle qui contient essentiellement du cinéole  et le cinéole est un molécule qui agit sur  les voies respiratoires et aider à combattre les affections telles que  sinusites, bronchites, congestion pulmonaire.

 

En conclusion, on voie bien ici que les trois sous espèces de romarin ont des propriétés thérapeutiques très distinctes en fonction de leur chémotype. Il est donc primordial connaitre et comprendre  cette notion de chémotype (leurs constituants principaux) pour choisir la bonne l’huile essentielle en fonction de l’affection que l’on désire soigner.

Conservation des huiles essentielles

Il est conseillé de stocker les huiles essentielles dans des fioles en verre foncé afin de les protéger contre la lumière, par ailleurs, il faut éviter variation de tempéra ture et le contact avec l’air (pas d’ouverture prolongée des flacons). Ce n’est que dans ces conditions que les huiles essentielles peuvent se conserver pendant des nombreuses années. (3 à 5 ans).

Les fioles doivent rester en position verticale car en position horizontale, il y a un risque que le bouchon soit attaqué par l’huile essentielle.

Les huiles essentielles

Les propriétés des huiles essentielles

La composition chimique des huiles essentielles leurs confère une caractéristique bien précise, il faut donc savoir décrypter la composition d’une huile essentielle pour pouvoir l’utiliser en toute sécurité.  Voici quatre familles de composés qu’il est bon de connaître :

Monoterpènes, sesquiterpènes et dérives :

Les composants les plus fréquents des huiles essentielles sont les terpènes et particulier les sesquiterpènes, monoterpène ainsi que leurs dérivés (Les aldéhydes, LES ALDHÉYDES TERPÉNIQUES Les alcools, Alcool monoterpéniques). Les monoterpènes sont généralement très peu toxiques, certains peuvent s’avérer légèrement dermocaustiques (irritant pour la peau).  De manière globale, les monoterpènes, sesquiterpènes et leurs dérives ont des propriétés décongestionnants veineux et lymphatiques, décongestionnants respiratoires, expectorants balsamiques, antivirales, antiseptiques atmosphériques, antalgiques, antifongiques, anti-inflammatoires, stomachiques et eupeptiques, antispasmodiques majeurs (Basilic exotique) Calmants et sédatifs, Cortison-like , hypotenseurs et stimulantes (digestifs, cortico- surrénaliens.   Ils sont plus courant dans les huile essentielles d’utilisation facile telles que le : Bois de rose – Géranium rosat – Laurier noble ,Lavande aspic, Lavande vraie , Marjolaine des jardins, Menthe poivrée, Niaouli, Palmarosa, Petit grain bigarade, Tea-tree, Thym thujanol, Ylang- ylang ,Genévrier commun, Lentisque pistachier ,Niaouli, Origan compact,  Pin sylvestre – Sarriette des montagnes,  ,  Cyprès de Provence , Epinette noire.

Cétones :

Les cétones sont des molécules dérivantes de monoterpène, particulièrement puissantes elles peuvent devenir toxiques en fonction de leur utilisation. Il faut donc les employer avec précaution et discernement. Les cétones stimulent le système immunitaire fluidifient les secrétions bronchiques et le sang, facilitent la digestion et l’élimination des acides gras. Les cétones favorisent la cicatrisation et régénération du tissu cutané et pour finir les cétones stimulent les système nerveux  On les utilise contre les affections d’origine virales, bactériennes et parasitaires produisant du mucus, tant sur le plan respiratoire que gynécologique.

Attention les cétones utilisés à faible dose, ils ont effet bénéfique sur le cerveau par leurs propriétés calmantes et sédatives. Les  cétones deviennes toxiques à forte  dose ou lors d’une utilisation prolongée pour le système nerveux. Ils peuvent alors provoquer de hallucinations, et peuvent des crises d’épilepsie. Les cétones sont en outre toxique pour le fœtus pouvant provoquer une fausse couches.  Les cétones sont surtout toxique quand on les prend en interne et leur toxicité dépend de la centration dans l’huile essentielle c’est pourquoi les huiles essentielles qui sont fortement concentrées en cétones sont accessible uniquement sur prescription médicale.  Cependant l’usage des huiles essentielles  à faible teneur en cétones doit faire l’objet de prudence et est proscrit chez la femme enceinte et allaitante, chez l’enfant de moins de 5 ans ou encore chez la personne âgé dont le système nerveux est fragile. Il faut le diffuser avec prudence pour ne pas exposer les personnes qui y sont sensibles.

Voici quelques exemples d’huiles essentielles contenant des cétones mais autoriser en vente libre car présente pas de toxicité dans le cadre d’un usage normal. Romarin CT camphre,  Romarin CT verbénone, Sauge officinale,  Thuya, Vétiver Eucalyptus globuleux  Eucalyptus mentholé,  Lavande aspic, Menthe poivrée,  Menthe pouillot , Cèdre de l’Atlas, Helichryse italienne, Hysope officinale,  Myrrhe, la sariette de montagne

Les phénols

Les phénols sont des alcools dérivés du benzène.  Ce sont des anti- infectieux plus ou moins puissants à large spectre. Ils ont également une action immunostimulante et neuro-tonifiante. Ils sont indiqués dans toutes les pathologies microbiennes, bactériennes, virales et fongiques. Bien que très efficace, ils sont cependant très dermocaustique et toxiques pour le foie s’ils sont utilisé pendant longue période. C’est pourquoi il faut toujours bien diluer les huiles essentielles qui sont riches en phénols et les utiliser à faible dose pour une courte période. Attention, il ne faut jamais les utiliser pures ou faiblement diluées, par ailleurs il est déconseillé de les utiliser en diffusion. Voici une liste non exhaustive contenant des composés  phénoliques sont HE de Giroflier, de Cannelle de Ceylan (écorce et feuilles), bay de Saint Thomas, Estragon, Sarriette de montagne, Le Thym à thymol et le Thym à carvacrol)

Furocumarines :

Les coumarines sont des molécules au parfum fruité très agréable, ils existent le plus souvent à l’état de traces dans les huiles essentielles. Elles restent néanmoins très actives. Elles sont calmantes du système nerveux et procurent  une grande relaxation physique et mentale.  Les furocoumarines que l’on retrouve dans les essences de zests d’agrumes ont une odeur très agréable procurant une sensation de bienêtre et d’ apaisement ainsi qu’une décontraction lorsque les huiles essentielles qui en contiennent sont diffusées.

Malheureusement certaines coumarines telle que  les furocoumarines sont photosensibilisantes au soleil. Pour utiliser les huiles essentielles contenant des furocoumarines en toute sécurité, après une application cutanée ou une prise par voie interne, il ne faut surtout pas s’exposer au soleil. Il est conseillé de le prendre le soir ou de se couvrir sa peau avant de sortir, sinon on  risque est d’attraper un coup de soleil, ou des taches brunes sur la peau pouvant persister plus au moins longtemps voir pour toujours si on a pris une trop forte dose. Les pyrannocoumaries sont hépatotoxiques. (Khella).  Voici une liste non exhaustive des huiles essentielles contenant des coumarines : Angélique archangélique, Bergamote, Camomille Allemande, Cannelle de Ceylan, Citron,  Estragon,  Khella, Limetier Livèche, Mélisse officinale,  Mandarine,  Orange amère,  Orange douce , Pamplemousse,  Verveine citronnée

Les propriétés des huiles essentielles en bref

Les huiles essentielles

En résumé, les huiles essentielles sont incontestablement  de molécules actives et thérapeutiques et cosmétiques. Leurs effets sont multiples, mais quelques activités phare se distinguent, relevant de  propriétés pharmacologiques démontrées scientifiquement. Voici les propriétés phares des huiles essentielles : antibactériens et antimicrobiennes (antivirales, antifongiques, antiparasitaires),  antiinflammatoires, antalgiques,  antispasmodiques, Stomachiques et eupeptiques, hypothermisants, hypotenseurs, litholytiques, , tonique générale, neurotoniques, calmants, sédatifs, hypnotiques, anticonvulsives,  cicatrisants, anti-allergiques,  mucolytiques et mucolytiques, expectorantes, décongestionnants respiratoires, Immunomodulants, stimulante immun…

Mode d’emploi

Les huiles essentielles sont des extraits de plantes exceptionnellement concentrées et des médications puissantes dont il ne faut pas abuser. Une goutte d’huile essentielle représente au moins 28 gr de plante. Par précaution et dans un souci d’efficacité, il est impérative de respecter constamment les doses recommandées. Comme  pour les médicaments un surdosage peut provoques des effets indésirables. Il faut toujours utiliser les HE en quantité nécessaire et suffisante, sans « forcer » les doses! Ne surtout augmenter les dosant en voulant  obtenir des résultats plus rapide ou spectaculaires, cela peut vous être préjudiciable !

Diffusion

Les huiles essentielles peuvent être utilisées :

Par voie interne ou par absorption buccale

Précaution :

L’administration d’une huile essentielle par voie interne est à proscrire chez  des individus ayant des gros problèmes gastriques et des antécédents d’ulcération, les nourrissons et les femmes enceintes.

Lors de l’utilisation d’Huiles essentielles non nocives  comme le tea tree et la lavande. Le meilleur moyen d’absorber les huiles essentielles est de poser une à deux gouttes sur la main et de laper puis boire un grand verre d’eau tiède ou infusion. Dans tous les cas éviter le sucre (risque de diabète).

De façon globale, les huiles essentielles ne doivent en aucun cas être ingérées pures mais toujours diluées à raison de 2 à 10% ou une goutte pour un millilitre d’huile végétale par exemple ou d’autres supports (le beures végétaux, gel d’aloès, le miel, l’alcool, le lait, crème et laits végétaux:

  • quelques gouttes d’H.E. dans une cuillerée de miel, sirop d’érable ou sur un comprimé neutre ou une mie de pain.
  • pour une meilleure absorption, diluer l’huile essentielle dans de l’huile ou un beurre végétale et alimentaire comme celle de tournesol, coco, olive,…
  • dans une infusion ou eau chaude miellée (attention, l’eau doit en dessous de 40°C car les molécules aromatiques et volatils contenues les huiles essentielle sont sensible à la chaleur),
  • dans du lait en poudre ou du yogourt.
  • Les huiles essentielles se mélangent également à merveille avec l’alcool et les teintures mères homéopathiques ou autres extraits hydro alcoolique de phytothérapie.

Prescription et dosage générale :

1 à 3 gouttes d’HE ou d’un mélange d‘huiles essentielles, deux à quatre fois par jour, en règle générale

Il faut faire un traitements de 3 à 7 jours voir 3 semaines au maximum, d’une même huile essentielle ou d’un même mélange. Si le mal persiste il faut consulter un médecin ou un phytothérapeute

Attention, on ne peut en aucun cas administrer d’HE en traitement par voie interne pour les bébés sauf dans de cas exceptionnel telle que  suppositoire ou  goutte nasale. Il bien entendu consulte par précaution un phytothérapeute ou aromathérapeute qualifié.

Usage externe d’huiles essentielles :

La diffusion dans l’air A l’aide d’un diffuseur d’huiles essentielles.

Les huiles essentielles vont éliminer les mauvaises odeurs, revitaliser, régénérer, réénergétiser l’air. apporter de propriétés spécifiques pour la respiration, la décontraction, la revitalisation

Par voie externe, on peut utiliser les huiles essentielles pour faire des inhalations, des bains aromatiques de pieds ou de siège, pour préparer des huiles pour le corps et pour les massages  (vertébrales,  des jambes, des pieds) et des frictions, enveloppes ,compresses, masque, crème, lotions, parfum, gargarisme et bain de bouche  dans ce cas il faut faire diluer  l’huile essentielle dans de l’alcool puis dans un demi-verre d’eau. L’huile essentielle de  Girofle, Hélichryse italienne (Immortelle), de sauge et de laurier sont les plus utilise pour soigner les affection buccales.

Utilisation

La synergie

Les huiles essentielles étant composées de différents molécules chimiques, ces molécules peuvent réagir entre elles quand on les mélange et donne ainsi un mélange dont l’action ou propriétés curatives sont potentiellement décuplées.  En d’autre termes, la synergie est l’association de diverses huiles essentielles  qui vont réagir entre elles pour donne un mélange d’huile plus efficace que les différentes huiles essentielles prises séparément.

Voici quelques exemples de synergies simples :

Pin maritime et cyprès pour la respiration

Lavande et ylang ylang pour la détente nerveuse et la peau. Sauge et géranium pour les problèmes gynécologiques.  Marjolaine et basilic contre l’anxiété

De même, un mélange de plusieurs types d’huile essentielles lavande produira une huile essentielle plus efficace que chacune des variétés de départ.